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'''Lady Amélie Jakobovits''' ({{date de naissance|31|mai|1928}}, [[Ansbach]], [[Allemagne]] - {{date de décès|7|mai|2010}}, [[Londres]], [[Angleterre]]) née Munk, connue comme [[rebbetzin]] Jakobovits, était la veuve de Lord [[Immanuel Jakobovits]], baron Jakobovits<ref>{{lien web|url=/proxy/http://www.independent.co.uk/news/uk/home-news/lord-jakobovits-743117.html|titre=Lord Jakobovits|date={{1er}} novembre 1999|site=[[The Independent]]}}</ref>, grand-rabbin du [[Commonwealth of Nations|Commonwealth]]. |
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À la naissance d'Amélie (en [[hébreu]], ''Mayla''), le {{date|31|mai|1928}}<ref>Voir, {{Lien web |url=/proxy/http://www.guardian.co.uk/world/2010/may/11/amelie-jakobovits-obituary |titre=Amelie Jakobovits obituary. Vivacious wife of the former chief rabbi. The Guardian. Michael Freeland. |consulté le=11 May 2010.}}</ref>, son père, [[Élie Munk|Elie Munk]], est le rabbin d'[[Ansbach]], en [[Bavière]]. Sa mère est Fanny (en [[hébreu]], Frumet) Goldberger, fille de Nathan Goldberger, le président de la communauté juive orthodoxe de [[Nuremberg]]. |
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Le rabbin Munk, né à [[Paris]] en [[1900]], quitte l'Allemagne en [[1937]], ayant compris l'étendue de la menace [[nazisme|nazie]]. Il est élu rabbin de la [[ |
Le rabbin Munk, né à [[Paris]] en [[1900]], quitte l'Allemagne en [[1937]], ayant compris l'étendue de la menace [[nazisme|nazie]]. Il est élu rabbin de la [[synagogue Adas Yereim]], appelée aussi synagogue de la Rue Cadet, ou Communauté israélite de la stricte observance (CISO), dans le [[9e arrondissement de Paris|{{9e|arrondissement}} de Paris]]. |
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En [[1949]], elle épouse le rabbin Immanuel Jakobovits qui devient [[grand-rabbin]] d'[[Irlande (île)|Irlande]] ([[1949]]-[[1958]]), puis de la synagogue orthodoxe de la [[cinquième Avenue|cinquième avenue]] à [[New York]] ([[1958]]-[[1967]]), puis finalement grand rabbin d'Angleterre ([[1967]]-[[1999]]). |
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Elle s'identifie aux positions de son mari, ce qui ne l'empêche pas d'avoir « elle-même, une personnalité hors de l'ordinaire », note le journal anglais ''[[The Independent]]''<ref>{{Lien web |url=/proxy/http://www.independent.co.uk/news/uk/home-news/lord-jakobovits-743117.html |titre=Joseph Finklestone. Lord Jakobovits. Home News, UK. ''The Independent''. Monday, 1 November 1999.}}</ref>. Selon le [[The New York Times|''New York Times'']], Amélie est une « extrovertie » et « ils forment une équipe pastorale, ouvrant leur demeure à des foules d'invités<ref>Voir, {{Lien web |url=/proxy/http://www.nytimes.com/1999/11/02/world/lord-jakobovits-outspoken-chief-rabbi-in-britain-for-24-years-is-dead-at-78.html |titre=Warren Hoge. Lord Jakobovits, Outspoken Chief Rabbi In Britain for 24 years, Is Dead at 78. ''The New York Times'', November 2, 1999.}}</ref>. » |
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Selon [[The Guardian]] de Londres, en date du {{date|11|mai|2007}}, quand son mari, Immanuel Jakobovits, est élu |
Selon ''[[The Guardian]]'' de Londres, en date du {{date|11|mai|2007}}, quand son mari, Immanuel Jakobovits, est élu grand-rabbin en 1967, il exprime son intention d'engager un [[Relations publiques|conseiller en relations publiques]]. De fait, point besoin de chercher loin, il a son épouse<ref>Voir, {{Lien web |url=/proxy/http://www.guardian.co.uk/world/2010/may/11/amelie-jakobovits-obituary |titre=Amelie Jakobovits obituary. Vivacious wife of the former chief rabbi. ''The Guardian''. Michael Freeland. 11 May 2010}}</ref>. |
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=== Après le décès de son mari (1999-2010) === |
=== Après le décès de son mari (1999-2010) === |
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Après le décès de son mari en [[1999]]<ref>Voir, [http://www.aojs.org/HaRav.asp Harav Lord Immanuel Jakobovits zt"l 1921-1999].</ref>, Amélie reste active et reconnue comme la « grand-mère » des Juifs britanniques<ref name=ref5/> qui la surnomment « Lady J »<ref name=Jeru>{{lien web|langue=en|url=/proxy/http://www.jpost.com/JewishWorld/JewishNews/Article.aspx?id=174994|titre=Lady Jakobovits dies at 81|site=[[The Jerusalem Post|Jerusalem Post]]|date=7 mai 2010}}</ref>. Durant toute sa vie, elle a soutenu activement de nombreuses associations caritatives juives et aussi donné des conférences, notamment à l'[[université d'Oxford]], le 25 janvier 2007, sur le thème de "La Femme dans l'Holocauste"<ref>Voir, [http://www.ox.ac.uk/gazette/2006-7/weekly/180107/adverts.htm Oxford University Gazette, 18 |
Après le décès de son mari en [[1999]]<ref>Voir, [http://www.aojs.org/HaRav.asp Harav Lord Immanuel Jakobovits zt"l 1921-1999].</ref>, Amélie reste active et reconnue comme la « grand-mère » des Juifs britanniques<ref name=ref5/> qui la surnomment « Lady J »<ref name=Jeru>{{lien web|langue=en|url=/proxy/http://www.jpost.com/JewishWorld/JewishNews/Article.aspx?id=174994|titre=Lady Jakobovits dies at 81|site=[[The Jerusalem Post|Jerusalem Post]]|date=7 mai 2010}}</ref>. Durant toute sa vie, elle a soutenu activement de nombreuses associations caritatives juives et aussi donné des conférences, notamment à l'[[université d'Oxford]], le 25 janvier 2007, sur le thème de "La Femme dans l'Holocauste"<ref>Voir, [http://www.ox.ac.uk/gazette/2006-7/weekly/180107/adverts.htm ''Oxford University Gazette'', 18 janvier 2007]</ref>{{,}}<ref>Voir, aussi le résumé de sa conférence à New York, le 14 décembre 2009, in [http://www.suttonsynagogue.org.uk/viewarticle.php?id=82 An Evening with Lady Jakobovis. Report by Barbara Saunders.]</ref>. |
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De par ses activités, note le journal anglais [[The Times]], en date du {{date|13|mai|2010}}<ref>[http://www.timesonline.co.uk/tol/comment/obituaries/article7124309.ece Lady Jakobovits: widow of the former Chief Rabbi. Obituaries. The Times. May 13, 2010.]</ref>, elle circonvient aux conventions qui auraient voulu qu'elle ne soit que l'épouse, et la veuve d'un |
De par ses activités, note le journal anglais ''[[The Times]]'', en date du {{date|13|mai|2010}}<ref>[http://www.timesonline.co.uk/tol/comment/obituaries/article7124309.ece Lady Jakobovits: widow of the former Chief Rabbi. Obituaries. ''The Times''. May 13, 2010.]</ref>, elle circonvient aux conventions qui auraient voulu qu'elle ne soit que l'épouse, et la veuve d'un grand-rabbin d'Angleterre. |
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En [[2002]] elle reçoit un [[docteur honoris causa|doctorat honorifique]] de l'[[université Bar-Ilan]], lors d'une cérémonie à Londres. [[Margaret Thatcher]] figure parmi les invités<ref name=INN1>Voir, [http://www.israelnationalnews.com/News/news.aspx/137442 Britain's Rebbetzin Amelie Jakobovits, 81, Passes Away. Hana Levi Julian.]</ref>. |
En [[2002]] elle reçoit un [[docteur honoris causa|doctorat honorifique]] de l'[[université Bar-Ilan]], lors d'une cérémonie à Londres. [[Margaret Thatcher]] figure parmi les invités<ref name=INN1>Voir, [http://www.israelnationalnews.com/News/news.aspx/137442 Britain's Rebbetzin Amelie Jakobovits, 81, Passes Away. Hana Levi Julian.]</ref>. |
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Elle a six enfants et trente petits-enfants <ref>Voir, [http://www.people.com/people/archive/article/0,,20098423,00.html Margaret Thatcher Makes Immanuel Jakobovits the First Rabbi to Be One with the Lords.]</ref>. |
Elle a six enfants et trente petits-enfants <ref>Voir, [http://www.people.com/people/archive/article/0,,20098423,00.html Margaret Thatcher Makes Immanuel Jakobovits the First Rabbi to Be One with the Lords.]</ref>. |
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En [[2007]], le journal ''[[The Jewish Chronicle]]'' publie une liste des 100 juifs les plus influents de [[Grande-Bretagne]]. Son nom figure en {{30e}} place<ref name=INN1 />. |
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Amélie Jakobovits décède à Londres le {{date|7|mai|2010}}, des suites d'une [[pneumonie franche lobaire aiguë|pneumonie]]. Après des funérailles à Londres<ref>avec la participation de Lord Jonathon Sacks, le grand-rabbin d'Angleterre et successeur de Immanuel Jakobovits. Voir, ''Rebbetzin Amelie Jakobovis, a"h''. Hamodia, New York, May 12, 2010/28 Iyar 5770, p. C40.</ref>, le dimanche {{date|9|mai|2010}}, elle est enterrée à [[Jérusalem]], en [[Israël]]<ref>Voir, [http://matzav.com/rebbetzin-amelie-jakobovits-ah Rebbetzin Amelie Jakobovits a"h. Matzav.com. The Online Voice of Torah Jewry.]</ref>{{,}}<ref>Voir, [http://www.chiefrabbi.org/ReadArtical.aspx?id=1638 Chief Rabbi Lord Sacks. Lady Jakovovits z"l.]</ref> {{,}}<ref>Voir, [http://www.thejc.com/news/uk-news/31572/lady-jakobovits-has-died Simon Rocker. Lady Jakobovits has died. The Jewish Chronicle. May 7, 2010.]</ref>{{,}}<ref name=ref5>Voir, [http://forward.com/articles/127888/ 'Lady J', {{lang|en|Widow of Former British Chief Rabbi Jakobovitz, Dead at 81 (mistakes in the name and the age}}). Forward. com]</ref>, sur le [[mont des Oliviers]], aux côtés de son époux<ref>Voir, ''Rebbetzin Amelie Jakobovis, a"h''. Hamodia, New York, 12 mai 2010, p. C40.</ref>. |
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== Notes et références == |
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== Bibliographie == |
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* Immanuel Jakobovits. ''If only My People…' Zionism in my life.'' B'nai Brith Books: Washington |
* Immanuel Jakobovits. ''If only My People…' Zionism in my life.'' B'nai Brith Books: Washington, 1986. {{ISBN|0-910250-10-3}} |
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* Gloria Tessler. ''Amélie: The Story of Lady Jakobovits''. Mitchell Vallentine & Company. 1998.{{ ISBN|0853033404}}, {{ISBN|978-0853033400}} |
* Gloria Tessler. ''Amélie: The Story of Lady Jakobovits''. Mitchell Vallentine & Company. 1998.{{ ISBN|0853033404}}, {{ISBN|978-0853033400}} |
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Version du 3 octobre 2017 à 12:28
Naissance | |
---|---|
Décès | |
S�pulture | |
Surnom |
Lady J |
Nationalit� | |
Domicile | |
P�re | |
Conjoint |
Immanuel Jakobovits (� partir de ) |
Enfants |
Lady Am�lie Jakobovits (, Ansbach, Allemagne - , Londres, Angleterre) n�e Munk, connue comme rebbetzin Jakobovits, �tait la veuve de Lord Immanuel Jakobovits, baron Jakobovits[1], grand-rabbin du Commonwealth.
�l�ments biographiques
De Ansbach � Paris (1928-1937)
� la naissance d'Am�lie (en h�breu, Mayla), le [2], son p�re, Elie Munk, est le rabbin d'Ansbach, en Bavi�re. Sa m�re est Fanny (en h�breu, Frumet) Goldberger, fille de Nathan Goldberger, le pr�sident de la communaut� juive orthodoxe de Nuremberg.
Le rabbin Munk, n� � Paris en 1900, quitte l'Allemagne en 1937, ayant compris l'�tendue de la menace nazie. Il est �lu rabbin de la synagogue Adas Yereim, appel�e aussi synagogue de la Rue Cadet, ou Communaut� isra�lite de la stricte observance (CISO), dans le 9e arrondissement de Paris.
Elle a donc neuf ans lorsqu'elle arrive � Paris.
Seconde Guerre mondiale : Suisse et retour � Paris (1939-1949)
Pendant la guerre sa famille se r�fugie d'abord � Toulouse. En 1941 elle participe au camp d'�t� du mouvement Yechouroun, puis sa famille parvient � passer en Suisse[3].
Mariage, puis l'Irlande, New York, et l'Angleterre (1949-2010)
En 1949, elle �pouse le rabbin Immanuel Jakobovits qui devient grand-rabbin d'Irlande (1949-1958), puis de la synagogue orthodoxe de la cinqui�me avenue � New York (1958-1967), puis finalement grand rabbin d'Angleterre (1967-1999).
Elle s'identifie aux positions de son mari, ce qui ne l'emp�che pas d'avoir � elle-m�me, une personnalit� hors de l'ordinaire �, note le journal anglais The Independent[4]. Selon le New York Times, Am�lie est une � extrovertie � et � ils forment une �quipe pastorale, ouvrant leur demeure � des foules d'invit�s[5]. �
Selon The Guardian de Londres, en date du , quand son mari, Immanuel Jakobovits, est �lu grand-rabbin en 1967, il exprime son intention d'engager un conseiller en relations publiques. De fait, point besoin de chercher loin, il a son épouse[6].
Après le décès de son mari (1999-2010)
Après le décès de son mari en 1999[7], Amélie reste active et reconnue comme la « grand-mère » des Juifs britanniques[3] qui la surnomment « Lady J »[8]. Durant toute sa vie, elle a soutenu activement de nombreuses associations caritatives juives et aussi donné des conférences, notamment à l'université d'Oxford, le 25 janvier 2007, sur le thème de "La Femme dans l'Holocauste"[9],[10].
De par ses activités, note le journal anglais The Times, en date du [11], elle circonvient aux conventions qui auraient voulu qu'elle ne soit que l'épouse, et la veuve d'un grand-rabbin d'Angleterre.
En 2002 elle reçoit un doctorat honorifique de l'université Bar-Ilan, lors d'une cérémonie à Londres. Margaret Thatcher figure parmi les invités[12].
Elle a six enfants et trente petits-enfants [13].
En 2007, le journal The Jewish Chronicle publie une liste des 100 juifs les plus influents de Grande-Bretagne. Son nom figure en 30e place[12].
Amélie Jakobovits décède à Londres le , des suites d'une pneumonie. Après des funérailles à Londres[14], le dimanche , elle est enterrée à Jérusalem, en Israël[15],[16] ,[17],[3], sur le mont des Oliviers, aux côtés de son époux[18].
Notes et références
- « Lord Jakobovits », sur The Independent,
- Voir, « Amelie Jakobovits obituary. Vivacious wife of the former chief rabbi. The Guardian. Michael Freeland. » (consulté le )
- Voir, 'Lady J', Widow of Former British Chief Rabbi Jakobovitz, Dead at 81 (mistakes in the name and the age). Forward. com
- « Joseph Finklestone. Lord Jakobovits. Home News, UK. The Independent. Monday, 1 November 1999. »
- Voir, « Warren Hoge. Lord Jakobovits, Outspoken Chief Rabbi In Britain for 24 years, Is Dead at 78. The New York Times, November 2, 1999. »
- Voir, « Amelie Jakobovits obituary. Vivacious wife of the former chief rabbi. The Guardian. Michael Freeland. 11 May 2010 »
- Voir, Harav Lord Immanuel Jakobovits zt"l 1921-1999.
- (en) « Lady Jakobovits dies at 81 », sur Jerusalem Post,
- Voir, Oxford University Gazette, 18 janvier 2007
- Voir, aussi le résumé de sa conférence à New York, le 14 décembre 2009, in An Evening with Lady Jakobovis. Report by Barbara Saunders.
- Lady Jakobovits: widow of the former Chief Rabbi. Obituaries. The Times. May 13, 2010.
- Voir, Britain's Rebbetzin Amelie Jakobovits, 81, Passes Away. Hana Levi Julian.
- Voir, Margaret Thatcher Makes Immanuel Jakobovits the First Rabbi to Be One with the Lords.
- avec la participation de Lord Jonathon Sacks, le grand-rabbin d'Angleterre et successeur de Immanuel Jakobovits. Voir, Rebbetzin Amelie Jakobovis, a"h. Hamodia, New York, May 12, 2010/28 Iyar 5770, p. C40.
- Voir, Rebbetzin Amelie Jakobovits a"h. Matzav.com. The Online Voice of Torah Jewry.
- Voir, Chief Rabbi Lord Sacks. Lady Jakovovits z"l.
- Voir, Simon Rocker. Lady Jakobovits has died. The Jewish Chronicle. May 7, 2010.
- Voir, Rebbetzin Amelie Jakobovis, a"h. Hamodia, New York, 12 mai 2010, p. C40.
Bibliographie
- Immanuel Jakobovits. If only My People…' Zionism in my life. B'nai Brith Books: Washington, 1986. (ISBN 0-910250-10-3)
- Gloria Tessler. Amélie: The Story of Lady Jakobovits. Mitchell Vallentine & Company. 1998. (ISBN 0853033404), (ISBN 978-0853033400)